L’opposant zimbabwéen, Tendai Biti, a été libéré sous caution, vendredi, 24h après son expulsion de la Zambie vers son pays pour faire face à des accusations d’annonce illégale des résultats des élections générales et d’incitation à la violence.
Après le rejet de sa demande d’asile, Biti avait été remis à des agents de sécurité du Zimbabwe par des officiers zambiens. Immédiatement emmené devant un magistrat de Harare, l’ancien ministre des Finances a bénéficié d’une libération sous caution de 5.000 dollars. On lui a retiré son passeport avant de lui signifier qu’il doit se présenter à la police deux fois par semaine.
Biti qui nie toutes les accusations formulées contre lui, risque jusqu’à dix ans de réclusion s’il est reconnu coupable.
Cette affaire s’avère un test pour le président zimbabwéen Emmerson Mnangagwa qui a basé sa campagne sur la liberté de l’espace démocratique dans un pays qui a vécu près de deux décennies de régime autoritaire sous le règne de Robert Mugabe. (APA/2018)
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