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Viol, maltraitance et meutre d’une fillette de 9 ans: Lomé en émoi suite à un drame social!


Le lundi 12 mai dernier , le quartier de Léo 2000 situé à Lomé,a été la scène d’un acte ignoble de viol et de meutre sur une fillette agée de 9 ans. Perpétré par un homme de 47 ans , ce crime ignoble a laissé toute une famille meurtrie et la société sans voix .


Ce qui n’était qu’une supputation s’est confirmée après que plusieurs organisations et journalistes se sont rendus auprès de la famille de jeune fille pour obtenir les détails des faits.
Selon les informations recueillies, le présumé meurtrier serait du voisinage de la petite fille dénommée Josiane qu’il a l’habitude d’envoyer pour de petites courses.
Le jour du drame, le prédateur sexuel aurait prélevé le sang de la mineure de 9 ans, violé, sodomisé puis étranglé mettant ainsi fin à sa vie avant de l’enfermer dans son véhicule, cherchant un moyen de faire disparaitre le corps sans vie de la fillette.
Alertées, les forces de l’ordre qui ont fait le déplacement ont interpellé le concerné qui est actuellement au commissariat du 8 ème arrondissement. Aux dernières nouvelles, le procureur de la République a été saisi de l’affaire.


La nouvelle a suscité une vive indignation au sein de l’opinion publique.Ce mardi, la CNDH et un collectif d’organisations de la société civile ont , dans des communiqués respectifs condamné cet « acte ignoble » et presenté leurs condoléances à la famille de la petite Josiane.
« Une délégation de la CNDH conduite par son président a rendu visite à la famille pour s’enquérir de la réalité des faits. Les informations recueillies sur place confirment le décès de la petite fille dans des circonstances atroces en cours d’élucidation.(…) La CNDH en appelle à une application juste et rigoureuse de la loi afin de dissuader et prévenir de tels agissements et invite les parents à plus de vigilance et d’encadrement en ces temps de vacances scolaires », note la CNDH dans son communiqué.

Dans la même lancée, la note du collectif qui rassemble 30 organisations « condamme vigoureusement cet acte inhumain et encourage la poursuite du dossier jusqu’à l’application de la peine maximale pour l’auteur. Une sanction sévère pour cet acte criminel découragerait, nous en sommes convaincus, toutes les autres tentatives de graves abus sur les enfants dans notre pays et apaiserait un tant soit peu la douleur des parents ».

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