Le Centre Hospitalier Régional (CHR) de Lomé reprend peu à peu sa vocation première. Il cherche à dépasser l’étiquette persistante d' »hôpital du Covid » qui continue de lui être associée.
La fréquentation du CHR, qui est aussi connu sous les noms d' »Hôpital chinois » ou « Hôpital Bon Secours », a connu une baisse significative depuis la fin de la pandémie. Le maire de la commune Golfe 3 à Lomé, Kamal Adjayi, qui préside également le conseil d’administration de l’hôpital, a exprimé sa détermination à changer cette perception.
L’objectif de Kamal Adjayi est de combattre la phobie que certains patients pourraient ressentir envers le complexe médical et de rétablir sa réputation en tant qu’institution de santé polyvalente de premier plan. Le CHR de Lomé offre une gamme variée de services médicaux, allant de la médecine générale à la pédiatrie en passant par les maladies infectieuses et la cardiologie.
Malgré ses compétences et son engagement envers la santé publique, le CHR de Lomé doit maintenant relever le défi de restaurer la confiance du public et de souligner son rôle essentiel au sein de la communauté.
Alors que le pays avance résolument vers une période post-pandémique, le CHR de Lomé se positionne pour jouer un rôle central dans la prestation de soins de qualité et dans la promotion d’une communauté en bonne santé.
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